top of page
black-glitch-effect-texture.jpg

[ Festival ] Our Lady Peace et Moist au Festivoix !

Pour débuter, voici les photos des performance de Tamara Weber, Stella Dupré et Elisapie.


Hier soir, la scène du Festivoix a vibré au rythme d’un grand retour : après trois ans d’absence, Moist est monté sur scène devant une foule fébrile, prête à revivre la magie d’une époque marquée par leurs hymnes rock. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que le groupe n’a rien perdu de sa puissance.

ree

Dès les premières notes, une nostalgie palpable s’est emparée du public. Les fans de la première heure avaient les yeux brillants, bercés par des solos de guitare envoûtants et la voix toujours aussi prenante de David Usher. L’ambiance est montée d’un cran lorsqu’ils ont interprété deux titres cultes de ce dernier, ainsi qu’une version électrisante de “Resurrection”, magnifiquement fusionnée avec des extraits de “Sweet Dreams” des Eurythmics. Même ceux qui connaissaient moins le groupe se sont laissés emporter — chantant à tue-tête, dansant avec ferveur.


Ce concert était aussi un portrait vivant de la diversité du Festivoix : des punks aux crêtes multicolores aux enfants en robes à paillettes, toutes les générations étaient réunies, prouvant que la musique de Moist transcende les époques et les styles.


Un retour qui frappe droit au cœur.

Un moment où la scène est devenue un pont entre passé et présent.

Et surtout, une promesse : Moist est bel et bien de retour. Et on espère, pour longtemps.



ree

Our Lady Peace au Festivoix : un concert rare, puissant et profondément humain


Ensuite, Our Lady Peace a fait vibrer le Festivoix avec un spectacle électrisant. Devant une foule fébrile, les fans ont vécu un moment inoubliable — les bras levés, les voix unies, et les téléphones levés pour immortaliser chaque instant.


Dès les premières notes de "Superman’s Dead", "Innocent", "Is Anybody Home" et "Clumsy", le public a explosé en un immense chœur, reprenant chaque mot avec une énergie débordante. La connexion était totale. 


Sur scène, Raine Maida, vêtu d’un manteau de cuir, a livré une performance intense, soutenue par des solos de guitare enflammés et une mise en scène épurée qui laissait toute la place à la musique et à l’émotion.


Moment marquant de la soirée : l’interprétation rare et poignante de "Whatever", une chanson que le groupe joue presque jamais en concert. Dédiée à la santé mentale la chanson a soulevé une vague d’émotion dans la foule, qui l’a accueillie avec cœur et intensité.


Avec sensibilité et humour, le chanteur a pris le temps de dire quelques mots en français, avant de lancer une blague sur Toronto, leur ville natale. Une attention simple, mais sincère, qui a renforcé le lien déjà fort entre le groupe et le public. 


Hier soir, Our Lady Peace ne s’est pas contenté de livrer un concert :

Ils ont offert un moment de proximité, de vulnérabilité et de rock pur.

Et le Festivoix s’en souviendra longtemps.


Commentaires


bottom of page